Comptes rendus de concerts

Le San Francisco Chronicle: “Une musicienne quatre-étoiles dotée d’une technique éclatante, d’une agilité troublante, d’intelligence musicale et de sensibilité.”

La Oakland Tribune: “Une instrumentaliste de haut rang…une musicienne brillante.”

Le Amsterdam Algemeen Handelsblad: “…un élan incroyable et plein de détermination, sa vision remarquable est emplie d’un pathétique impérieux.”

San Francisco Classical Voice: “Une enchanteresse au piano…Sa formidable facilité technique lui permet de faire presque tout avec la musique, et c’est ce qu’elle fait…elle a apporté une réelle passion à la musique, des lignes lyriques joliment nuancées…qui avaient de l’élan et un caractère d’urgence émotionnelle.”

La Lettre du Musicien:A Paris en octobre 2001, lors d'un récital en solo qui comprenait notamment la Polonaise-Fantaisie, Op.61 de Chopin et la Phantasie en Ut de Schumann, Mme Brandwynne a reçu la critique suivante, “…un son riche et profond…Lois Brandwynne affirma ses qualités de pianiste romantique. Un Chopin très éloquent et un Schumann animé d’un grand souffle qui nous ont séduits sans restriction.”

“Lois Brandwynne,…une pianiste à l’intellect, à l’expressivité et au talent remarquables a rendu cette soirée doublement mémorable grâce à une formidable interprétation de l’ultime Sonate en si bémol, D.960 de Schubert, publiée dix ans après sa mort. Dans le premier mouvement de 20 minutes, au thème principal d’une beauté sereine, elle a su rendre les moments inquiétants de ténèbres…les éclats soudains, les hésitations inattendues, un grondement doux et grave dans les basses. Ce fut une prestation profondément réfléchie et révélatrice, comme un message de Schubert lui-même, mortellement malade.” —William Glackin du Sacramento Bee

En mars 2005, Lois Brandwynne a donné un récital en solo au Merkin Hall de New York, où l’avait rejointe la violoncelliste Bonnie Hampton, anciennement du Trio Francesco, pour l’exécution de plusieurs oeuvres, parmi lesquelles des premières new yorkaises d’Andrew Imbrie, de Thérèse Brenet et d’Elinor Armer. Dans la Concert Review Series, Paul Turok a écrit à propos de ce spectacle: “La seconde moitié…fut consacrée aux 24 Préludes, Op.28 de Chopin, qu’elle a joués avec brio. A peine avait-t-elle commencé que l’on put sentir l’ensemble des morceaux s’arquer, un fait rare qui atteste de la présence d’un esprit musical pénétrant totalement intégré à l’aisance technique.”

Harris Goldsmith, critique musical pour Musical America entre autres revues, a écrit concernant les Préludes de Chopin: “Sa lecture épique et sur une grande échelle de ces ‘Petits Géants’ s’avéra être un grand succès. Les Préludes tels que le No. 2 en la mineur, le No. 6 en si mineur…furent abordés avec beaucoup d’élasticité et d’accent rhétorique.…Elle fut plus qu’à la hauteur des traîtrises du No. 19 en mi bémol majeur, et elle produisit le désespoir idéal pour ces morceaux dangereux que l’on connaît, tels que le fameux si bémol mineur (presto con fuoco), le ‘saut suicidaire’ No. 18 en fa mineur (molto Allegro) et enfin le No. 24 en ré mineur (Allegro appassionata). Le No. 12 en fa majeur fut en effet très lumineux.…Il est certain que je l’écouterais jouer une seconde fois avec plaisir.”

L'avis des musiciens

“Une pianiste élégante, des interprétations musicales de la plus haute qualité…” —Laurette Goldberg, claveciniste, spécialiste de Bach et fondatrice de Philharmonia Baroque

“Lois Brandwynne, réputée et reconnue dans toute la Région de la Baie, est perçue non seulement comme un professeur inspiré à l’Université Californienne de Davis, mais aussi comme une interprète remarquable. Elle joue les classiques avec une vraie maîtrise technique, et avec beaucoup d’inspiration et de compréhension. Elle inclut souvent à son répertoire des oeuvres de compositeurs contemporains auxquelles elle donne tout leur souffle, car elle croit qu’une salle de concert n’est pas simplement un musée d’art ancien. Nous lui en sommes profondément reconnaissants.” —Andrew Imbrie, compositeur de renommée mondiale

“Elle est à la fois poétesse et tigresse, quel que soit le style de clavier. Lorsque l’on compose pour Brandwynne, tous les coups sont permis.” —Elinor Armer, compositrice californienne and ancienne présidente de la faculté de composition au Conservatoire de Musique de San Francisco

“Une de mes solistes préférées…une belle IV de Beethoven.” —Feu Edgar Braun, fondateur et chef d’orchestre de l’Orchestre de Chambre de San Francisco